Certains disent : Pas de Tertre Sacré,
pas de forêt carnute, ni de statue ancienne de puits sacré,
de dolmen, se basant sur le fait que nous n’avions pas connaissance d’un
culte pré-chrétien à Chartres, le Moyen Âge
n’en ayant jamais parlé.
D’autres affirment : C’est sur ce
lieu consacré, qu’un siècle avant Jésus-Christ , les
Druides érigèrent un autel et y placèrent une statue
avec cette célèbre inscription : VIRGINI PARITURAE. (A la
vierge devant enfanter).
Pour
expliquer cette croyance, il faut avoir recours à une tradition
primitive qui a été transmise à nos premiers
parents et par eux à tous leurs descendants.
Au regard de Chartres, comment ne
pas imaginer que les Druides y aient établi leur demeure, même
si l’on y voit aucun vestige de leurs logements ?
Se trouvaient-ils à l’endroit
même ou aux environs de la cathédrale actuelle ?
Est-ce là que se trouvait
le bois sacré où ils faisaient leurs cérémonies
?
Ils n’écrivaient pas, car
ils craignaient que leurs mystères ne fussent mis en écrits.
Façon d’enseigner par cabale, sans écriture à la manière
de Pythagore, Socrate et des Cabalistes.
Ils enseignaient en secret dans des
cavernes, dans des lieux cachés, des bois éloignés,
comme jadis les monastères qui étaient bâtis en des
lieux éloignés du monde.
Faut-il croire ce que nous ont dit
les hommes Druides ?
Ils étaient savants et connaissaient
les secrets de la nature.
Mais étaient-ils à
Chartres... là où est maintenant la cathédrale ?
Nul ne peut l’affirmer à
ce jour.